«
Eviter l’effet Tartuffe ». C’est en ces termes que le Sénat met en
garde les institutions européennes, la Commission européenne en premier
lieu, concernant ses critiques envers la France. Sa commission des affaires européennes soutient la réforme européenne
anti-corruption engagée et elle dénonce l’absence de volonté politique
de certains des Etats membres dans leur engagement dans cette lutte. En
revanche, elle critique l'idée du comité interinstitutionnel d’éthique,
proposition phare du dernier paquet de mesures anti-corruption, jugée trop tardive et
trop faible. LIRE LA SUITE...