Schengen, en tant qu’espace de libre circulation, semble être à la fois la victime et le vecteur du terrorisme : victime car le rétablissement des contrôles aux frontières de manière durable signerait la « mort de Schengen », vecteur car cet espace de libre circulation permettrait une mobilité accrue des terroristes. Dans ce contexte, une question mérite d’être posée : Schengen est-il compatible avec la lutte antiterroriste ?
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(article écrit par securiteinterieure.fr sur The Conversation)